Ah, lever la main en classe, cette innocente tradition scolaire que l’on nous apprend dès nos premières années à l’école. Mais qu’y a-t-il réellement derrière ce geste apparemment anodin? Un entraînement subtil à devenir des sympathisants d’extrême droite, peut-être? Suivez-moi dans cette exploration satirique de ce que pourrait être une véritable conspiration éducative.
Dès le plus jeune âge, on nous enseigne que pour parler, pour poser une question, il faut lever la main. Mais pourquoi donc? Pourquoi ne pas simplement parler librement, interrompre à tout va, faire du bruit? Pourquoi cette discipline de fer imposée par un simple geste vertical du bras? Voilà que nos écoles, sous couvert de nous apprendre le respect des tours de parole, nous préparent en réalité à accepter sans sourciller une forme de contrôle rigide.
Imaginez un peu le tableau : chaque levée de main est un pas de plus vers l’adhésion à un ordre supérieur, discipliné, où l’autorité n’est jamais remise en question. « Lève la main, reste tranquille, attends ton tour » – des commandements gravés dans nos esprits qui pourraient tout aussi bien être des instructions pour des militants d’extrême droite en formation. Chaque classe devient alors un petit régiment, chaque élève un futur partisan prêt à obéir aux ordres.
Et le geste lui-même? Ne nous y trompons pas, il rappelle étrangement le salut autoritaire d’une certaine Allemagne des années 1930. Bien sûr, cela n’est qu’une coïncidence, n’est-ce pas? Ou peut-être une ruse longuement concoctée pour inculquer les bases d’une idéologie radicale sous le masque de la politesse et de la bonne éducation.
En réalité, chaque fois que nous levons la main, c’est un petit exercice de loyauté à un système, un test répété de notre capacité à suivre des règles, un pas vers une soumission plus large. Alors la prochaine fois que vous leviez la main en classe, demandez-vous : pour qui le bras se lève-t-il vraiment?
